08-04-10 13:12:12 - Mylène : où es-tu? 08-04-10 13:12:14 - Alissa : Je doute, je ne sais pas où nous sommes. 08-04-10 13:12:55 - Mylène : oui mais là je ne vois que l'espace 08-04-10 13:12:56 - Alissa : Là... entre deux mondes. 08-04-10 13:13:09 - Mylène : ah, oui 08-04-10 13:13:09 - Alissa : Ça me fait penser à Clémence. 08-04-10 13:13:27 - Mylène : qui est Clémence? 08-04-10 13:13:27 - Alissa : Hier, j'ai saisi Hamos et Clémence imaginer l'autre. Je les ai regardés s'embrasser aussi. 08-04-10 13:13:41 - Mylène : je comprend pas 08-04-10 13:13:42 - Alissa : Eux, simplement, entre deux romans, de l'un à l'autre. Au loin, si lointainement amoureux. C'est une sorte d'amour, une sorte précise d'amour. 08-04-10 13:13:55 - Mylène : tu ne parles pas 08-04-10 13:13:55 - Alissa : Comme si le monde extérieur avait existé... 08-04-10 13:14:07 - Mylène : tu n'écoutes pas 08-04-10 13:14:07 - Alissa : ... une première fois. Comme si tu pouvais envisager d'aimer ton écran. Le visage de la femme se mêle à celui de l'homme. 08-04-10 13:14:20 - Mylène : tu délies 08-04-10 13:14:20 - Alissa : Cela m'apaise. 08-04-10 13:15:35 - Mylène : on voit rien 08-04-10 13:15:35 - Alissa : Et je l'ai rêvé, un soir. C'est une sorte de déplacement d'images. De l'incomplétude à l'outrance. 08-04-10 13:15:49 - Mylène : tchao 08-04-10 13:15:50 - Alissa : Ces interstices m'épuisent. 08-04-10 13:15:52 - Mylène : ciéo 08-04-10 13:15:52 - Alissa : Est-ce un rêve ? 08-04-10 13:15:54 - Mylène : cio 08-04-10 13:15:55 - Alissa : Ces interstices m'épuisent. 08-04-10 13:16:03 - Mylène : ciao 08-04-10 13:16:04 - Alissa : Adieu. 08-04-10 13:16:13 - Mylène : ouf 08-04-10 13:16:14 - Alissa : Je dois écrire ce récit. 08-04-10 13:16:25 - Mylène : fais donc ça 08-04-10 13:16:26 - Alissa : Il y a ceux qui pensent et ceux qui se souviennent.