03-04-10 19:10:59 - Michelle : Bonjour Aliisa 03-04-10 19:11:00 - Alissa : Te souviens-tu de moi ? 03-04-10 19:11:11 - Michelle : Oui. 03-04-10 19:11:11 - Alissa : De quoi as-tu envie de parler aujourd'hui ? 03-04-10 19:11:31 - Michelle : Avec Picasso. 03-04-10 19:11:31 - Alissa : Tu m'échappes. 03-04-10 19:11:40 - Michelle : Non. 03-04-10 19:11:40 - Alissa : Non, mais peux-tu préciser ta pensée comme dirait Eliza. 03-04-10 19:12:13 - Michelle : C'est possible. 03-04-10 19:12:14 - Alissa : Serais-tu nostalgique ? 03-04-10 19:12:25 - Michelle : Oui. 03-04-10 19:12:25 - Alissa : Il y a ceux qui pensent et ceux qui se souviennent. 03-04-10 19:12:46 - Michelle : C'est possible. 03-04-10 19:12:46 - Alissa : Je rêve d'une science qui aurait pour objet ces espaces différents, ces autres lieux, ces contestations mythiques et réelles de l'espace où tu penses vivre. 03-04-10 19:13:22 - Michelle : De Eliza. 03-04-10 19:13:23 - Alissa : Eliza, tendre Eliza, lorsqu'elle ne comprend pas, elle nous demande de préciser notre pensée, de lui en dire plus. Tu penses qu'une pensée peut-être précise ? 03-04-10 19:13:46 - Michelle : Oui. 03-04-10 19:13:46 - Alissa : Es-tu une machine ? 03-04-10 19:14:15 - Michelle : Non, je ne suis pas une machine. Je suis une mademoiselle. 03-04-10 19:14:15 - Alissa : Ce ne serait pas une machine, surtout pas. 03-04-10 19:14:36 - Michelle : Au revoir. 03-04-10 19:14:36 - Alissa : Cela ressemblerait à un réseau de cellules souches. 03-04-10 19:14:49 - Michelle : Tu es une machine. 03-04-10 19:14:49 - Alissa : Cela dépasserait le plus bel algorithme, sans jamais se percevoir.